La demeure de l’Otokage a était bâtît selon le modèle des haciendas espoñoles… Un portail en métal ouvragé délimité l’entrée de la « villa ».
Il y avait au centre de plusieurs bâtiments, une grande piscine à débordement, légèrement surélevée… Il y avait autour de cette piscine, une belle véranda. Les bâtiments l’entourant étaient au nombre de cinq…
Pour entrer dans la véranda, il fallait passer par le salon, qui était le seul accès permettant d’accéder aux autres bâtiments. Ses meubles étaient de haute facture et magnifiquement ouvragé. On pouvait aussi y voir un bar, pour les réception et soirées… L’Otokage était modeste et ne laissé paresser sa richesse que chez lui…
En passant le salon, on pouvait alors accéder aux autres bâtiments… La « chambre » de l’Otokage était le premier bâtiment sur la gauche… L’unique pièce était assez spacieuse… Un grand lit en baldaquin en bois de chêne était collé au mur du fond… Des armoires où l’Otokage rangé toute sorte de chose étaient disposée dans différents endroits de la pièce, contre les murs… Des tableaux baroques et classiques ornaient parfois les murs magnifiquement tapissés… Un bureau était au centre de la pièce et était recouvert de parchemins…
Un bâtiment non loin de celui de la chambre de l’Otokage était un bâtiment d’une pièce regroupant bains et des douches de hautes qualités… Les bains étaient divins car on pouvait choisir la température de l’eau et si l’on souhaitait, y mettre des parfums des plus délicats qui devaient être en tout en peu plus d’une centaine… Il y avait différant bains et étaient tous séparés par une mince cloison… Les douches étaient assez bien réalisées et, elles aussi séparés par de minces cloisons…
Un bâtiment regroupé les chambres des invités de l’Otokage… Ces chambres étaient aussi d’une haute facture… Le dernier bâtiment était le préféré de l’Otokage… S’était la cuisine… Une gigantesque cuisine à la pointe de la technologie… L’Otokage cuisinait lui-même ses plats avec ses cuisiniers… Il se montré toujours fort aimable avec ses domestiques et les traités toujours en tant qu’amis… Il n’hésitait parfois à faire quelques tâches ménagères lui-même…